Les startups, ces établissements innovateursp en matière de création des postes d’emploi pour les étudiants fraîchement diplômés, ont été au menu de la visite du ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, ce samedi, à Jijel.
Kamel Beddari, et après l’accueil officiel qui lui a été réservé à l’aéroport Ferhat Abbas par les autorités de la wilaya, à leur tête, le wali Ahmed Meguellati, accompagné des autorités sécuritaires, militaires et civiles, a pris la route du campus universitaire de Tassoust, entamant une visite riche en activités.
Après un exposé qui lui a été présenté par Noureddine Ben Ali Cherif, recteur de l’université Mohamed Seddik Ben Yahia, sur cet établissement de l’enseignement supérieur et ses différentes structures et filières, le ministre a été convie à superviser une exposition sur les projets d’invention des étudiants, les entreprises économiques et le centre de développement des start-ups.
Tout justeaprès, c’est un studio d’enregistrement réservé aux étudiants de l’institut de l’information et de la communication de la faculté des sciences humaines qui a été inauguré par le ministre, qui a dans le même sillage lancé le projet de réalisation de 10 laboratoires de recherche au pôle de Tassoust.
Au campus central de l’université à Jijel, le ministre a inauguré le siège de la start-up et en procédant à la visite des nouveaux laboratoires de l’annexe de medecine. Dans cette tournée, le ministre s’est rendu à l’incontournable projet de réalisation du troisième pôle universitaire d’El Aouana, accusant des retards énormes dans sa réalisation. Lancé, il y a voilà plus de dix ans, cette importante infrastructure universitaire englobant
plusieurs spécialités techniques et scientifiques a toutefois été relancé après la levée de gel graduel qu’il a connu.
Le bloc pédagogique de 3000 places et le restaurant universitaire sont les principales structures qui ont été relancés en attendant d’autres lots qui devraient été mis à la disposition de l’université d’ici la prochaine rentrée universitaire pour l’éventualité de leur exploitation.
Par : Amor Z