Le conseil de coordination de l’Assemblée populaire de wilaya d’Oum EL Bouaghi s’est réuni ? mardi passé, en présence de M. Sabssi Mohamed, président de l’APW, les huit présidents de commissions ainsi que les adjoints. Cette rencontre de travail avait pour objectif : les préparatifs de la 1ère session ordinaire de l’APW de l’année 2023, l’évaluation des sorties sur le terrain des différentes commissions et des divers. L’année 2022 a été très fructueuse, car la participation des élus de l’APW dans le développement socioéconomique de la wilaya était très important.
Ces derniers ont effectué un travail de proximité formidable, entre autres ils étaient très attentifs aux doléances des citoyens en villes et dans les zones d’ombre. Quant à leur participation, en collaboration avec les pouvoir publics, à la réalisation des projets et opérations à l’intérieur du tissu urbain, à savoir l’assainissement, l’éclairage public, l’AEP et la réhabilitation des cités, elle a créé une prise en charge acceptable de certaines localités oubliées par le passé et certains projets enregistrant un grand retard dans les réalisations.
Il est important de rappeler que les sorties du wali ont été marquées par la présence du P/APW et des élus locaux qui suivent de près tous les programmes réalisés ou en cours de réalisation à travers les 12 dairas. Le bilan présenté par le premier responsable de l’APW encourage les élus à fournir plus d’efforts pour servir les populations, mais surtout les gens qui habitent le milieu rural et les régions enclavées. Dieu merci, plusieurs logements de différents segment ont été distribués, le reste sera attribué fin 2023, selon le wali, M. Nefla.
Des écoles primaires, des salle de soins et groupes de maisons ont été dotés de gaz propane, d’électricité rurale et de citernes d’eau potable. Les effort de l’Etat et des élus dans cette jeune wilaya sont à encourager pour améliorer le mode de vie des citoyens à travers les 29 communes. En tout état de cause, beaucoup de choses restent à faire tels que la réhabilitation des écoles primaires jugées vétustes datant de l’époque coloniale et des année 60 et 70, la crise de logement dans les grandes villes, en l’occurrence Ain Beida, Meskiana, Berriche et Ain Kercha.
Par : Chaffai Chawki