Par : Chaffai Chawki
Bir Ounès, une cité située sur la RN 10 reliant la ville d’Ain Beida et le chef-lieu de wilaya, a besoin impérativement d’n et les habitations se trouvant sur l’autre rive. Lors du marché hebdomadaire, installé chaque vendredi, où les acheteurs et vendeurs de voitures viennent de partout, les éléments de la Gendarmerie nationale assurent leur sécurité et la sécurité routière dans cette localité afin d’éviter les accidents à la sortie de cet espace commercial. La municipalité n’a pas les moyens pour ériger cet ouvrage d’art puisque ses PCD sont jugées mièvres. Le coût d’une trémie, avec aménagent du site (reboisement, plaques de signalisation…) dépasse les 5 milliards de centimes, avons-nous appris d’un cadre de la DTP. Bir Ounès, traversée quotidiennement par des milliers de voitures, de camions poids-lourds et bus de voyageurs, nécessite une double voie et un éclairage digne de ce nom jusqu’au rond-point situé à quelques encablures de la capitale des Haracta. La population de cette grande cité demande à M. le wali l’inscription d’une trémie dans les plus brefs délais pour éviter les accidents sur ce tronçon important. Pour rappel ,les citoyens de Bir Rogaa, dans la commune de Berriche, daira d’Ain Beida, sont à l’abri des accidents de la route depuis longtemps car la DTP a construit, il y a quelques années, une trémie dans cette cité.