Par : Hamid Daoui
Les habitants de la ville d’El-Khroub, ses agglomérations, quartiers, cafés-maure, salles de jeux, y compris la plus reculée Ain N’has, ont été surpris par l’ampleur des coups de filets opérés par les forces de sécurité combinées dans la lutte contre la criminalité, le trafic des drogues et psychotropes, le banditisme et autres formes d’infractions touchant les biens et les personnes en troublant la quiétude des gens et l’ordre public.
Cette vaste opération policière a été aussitôt propagée sur les réseaux sociaux qui s’en sont emparée avec leurs innombrables et variés commentaires publiés par des facebookeurs. Toutes les contrées ont été « visitées » par les brigades anti-stups et les autres formes de violences des fléaux sociaux, dont la prolifération n’a pas cessé d’augmenter avec tous les dommages causés à la collectivité, y compris en perte de vies humaines !
Ainsi, les habitants se souviennent des décès enregistrés récemment, dont les causes ont été attribuées aux overdoses dans la consommation de drogues dures…etc. Les jeunes ont du mal à exister dans leur mal-être quotidien, si désemparés, sans repères et encore moins une boussole qui leur ouvre une perspective dans leur pays où la harga hante leurs esprits.
Cependant, la situation est devenue intenable en matière de commercialisation et consommation des drogues et autres infractions délictuelles qui se déroulent au « grand jour » , selon les Radiotrottoirs, et dans les discussions de rues et cafés où la société n’en peut plus, dans ce dilemme de fléaux qui rongent tous les corps, de surcroit dans un climat de violences qui n’épargnent même pas l’intérieur des infrastructures hospitalières et sanitaires, soumises aux guerres des bandes rivales à l’arme blanche, en blessant toute personnes qui interviens pour les départager. C’est dire l’insécurité qui règne, rajoutée à celle de la crise économique avec son « armée de sans travail et de chômeurs » indemnisés ou pas que seul, le travail effectif protègera de tous les fléaux et les éduquera face à la carence des institutions éducatives et sociales.