Par : Amar Ait Bara
De nombreux projets au nombre de 65 seront discutés et mis en délibération lors de la prochaine session de l’assemblée populaire communale qui sera la première de la nouvelle année 2023. Le premier projet consiste en l’étude de la réhabilitation de la cité du 8 mars, dont le coût s’élève à 4.000.000 dinars, le second concernera la réfection et le suivi des travaux au niveau de cette même cité et dont le montant a été estimé à 50.000.000 dinars. Alors que d’autres projets seront lancés incessamment, il s’agit de la réfection de l’ancienne cité El Moukaouama, dont la somme a été plafonnée à 35.000.000 dinars et le quatrième projet ciblera l’étude de la réhabilitation du quartier de Sidi Harb dont le montant est de 6.000.000 dinars.
Quant au coût du suivi et de la réalisation de ce quartier, qui posera problème avec les nombreux bidonvilles qui y sont implantés, il a été estimé à 150.000.000 dinars. Pour remarque, aucun projet ne peut être réalisé au niveau de la cité de Sidi Harb tant que les familles de ces bidonvilles n’ont pas été relogées et l’assiette de terrain clôturée pour dissuader d’autres demandeurs de logements d’y accéder en squattant le même endroit une seconde fois. Deux autres projets identiques et relatifs au renouvellement du réseau d’éclairage public pour être remplacé par des lampes LED au niveau du quartier du Champs de mars et ses environs pour une somme de 29.000.000 dinars ; la même opération a été prévue au niveau du quartier d’Oued Kouba pour un montant de 12.000.000 dinars.
Cependant, des poteaux de l’éclairage public installés en 2020 en fonte encore en très bon état et opérationnels vont être remplacés par d’autres en métal au niveau du quartier du Lever de l’aurore, et cela relève du gaspillage. Une autre opération aussi importante que les autres concernera la réhabilitation du jardin Les Caroubiers, à proximité du café « Le Calypso » et qui coûtera 11.000.000 dinars aux caisses de l’Etat. Tous ces projets seront soumis, avant les délibérations à l’assemblée générale ordinaire, à la commission de daïra pour étude comme tant d’autres à l’instar de la nouvelle fourrière communale dont le coût de l’étude a été estimé à 5.000.000 dinars.