Par : Chaffai Chawki
La piscine semi olympique, datant de 2007 et qui fait partie du programme des Hauts-Plateaux n’a pas encore ouvert ses portes au public et aux jeunes sportifs de la ville. Cette dernière devait être réceptionnée en 2019, seulement énormément de problèmes ont émergé depuis, obligeant la DJS de reporter son inauguration à une date ultérieure. Sur les réseaux sociaux, les Béidis s’interrogent sur ces contraintes qui s’opposent quant à l’ouverture de cet espace sportif dans les délais voulus et également sur le sort de la piscine communale en piteux état, abandonnée et fermée depuis plus de deux décennies. La question qui persiste : pourquoi l’APC n’a pas déclenché une opération de réhabilitation dans cet ancien bassin d’initiation et pourquoi les élus locaux n’ont pas fait appel à un investisseur pour la réanimer de son agonie. Et, devant cette situation alarmante, les familles beidies, pour se divertir durant la période estivale, sont contraintes de se déplacer vers les villes côtières les plus proches à savoir Annaba, Collo, jijel et Skikda pour passer leurs vacances. Une autre structure sportive est à l’abandon, l’auberge de jeunes datant de 2013/2014 dont les travaux sont à 80%. Cette construction, exposée à la dégradation puisqu’elle est livrée à elle-même, a besoin seulement d’une opération d’aménagement extérieur et d’un équipement adéquat pour son inauguration avant la fin de l’année 2021. Ces projets appartenant à la DJS et enregistrant un très grand retard, nécessitent une intervention diligentée de la part des pouvoirs publics pour les réceptionner et mettre fin aux calvaires vécus par cette énergie juvénile, essentiellement en été.