Par : Hamid Daoui
Vraisemblablement, la gestion des affaires de la Cité n’a pas changé dans le fond à l’APC d’El-Khroub ! Les méthodes et pratiques ont été recyclées au même titre que le personnel ayant été à la commande des désastres enregistrés dans les différentes mandatures municipales qui se sont succédées.
Ni le Code des Marchés publics modifié maintes fois par des conflits d’intérêts et encore moins les instructions avec leurs semblants de rigidité et de contrôle, introduits par la hiérarchie des « mains propres », n’arrivent à assainir la situation héritée ou celle en cours. Pour ne citer que des exemples récents dans l’octroi suspecté de quelques projets de restes à réaliser (RAR) ancien et réapparu d’autant que ceux-ci sont structurants et d’utilité publique certaine, relatifs à la pose de conduites du réseau d’assainissement dans certaines contrées du mode rural, bouleversé par les constructions anarchiques. Il y aurait 6 affectations de projets à un seul et unique opérateur privé et, semble-t-il, sous la formule d’une simple consultation de gré à gré, selon des sources avisées et colportées par radio trottoir qui révèle ces faits avérés au même titre que les réseaux qui sont, par ailleurs, investis par les publications officielles « agréées » le plus souvent par des photos d’exhibition des élus et leurs conseillers en guise de présentations faussement transparentes de leurs activités déconnectées de la réalité à l’effet de publicité de l’incurie de la mairie soumise aux influences des forces de l’argent et des lobbies habituels, toujours présents ! Dans le même registre des projets, sectoriels et communaux, relatifs aux travaux d’aménagement urbain à l’UV 10, anciennement appelée « Tindouf », à la nouvelle ville Ali Mendjeli, des citoyens exaspérés par les désagréments de l’environnement poussiéreux et bruyant qui envenime leur vie quotidienne et dénoncent la suspension du chantier résultant du nomadisme de l’entrepreneur qui a procède au transfert de ses engins et matériels dans un autre projet soumissionné dont il aurait bénéficié dans la vile de Batna, disent-ils révoltés par leurs conditions des travaux inachevés qui risquent de s’éterniser. Par ailleurs, l‘on apprend que des techniciens en topographie ont été dépêchés d’Alger à la Cité du 5 mai 1945, appelée faussement Beau séjour à l’effet de procéder à l’étude du site pour le renouvellement du réseau d’assainissement défectueux qui pourrit la vie des habitants depuis tant d’années dont la direction technique de l’APC, à leur tête, son premier responsable, ingénieur en hydraulique et son équipe de techniciens ont failli manifestement dans leurs missions dans une ville clochardisée partout ! Leur rappel à la manœuvre par ses conseils, sous le prétexte de l’expérience acquise après avoir été mis sur une voie de garage par le Maire du mandat 2002/2007, licencié par la commission de discipline de l‘APC du mandat 2007/2012 et réintégré à l’annexe de l’APC à Guettar-El-Aïch après le recours, et réintégré puis muté à la tête de l’entreprise des travaux routiers EASR par l’APC précédente, avant d’être limogé par le Maire à la suite d’un conflit de partage d’intérêts, avant de rebondir par rappel, sollicité par le jeune Maire en titre