Dans le cadre de l’assainissement des projets d’investissement octroyés dans le cadre de la concession, plusieurs rencontres ont eu lieu au niveau du siège de la wilaya afin d’encourager les investisseurs et leur assurer un bon suivi.
La dernière rencontre avec le wali d’Oum El-Bouaghi, en présence du chef cabinet par intérim, du P/APC du chef-lieu de wilaya, des directeurs de l’Environnement, de l’Industrie, de la SADEG, de l’Agriculture, de l’Agence locale de développement, du directeur chargé de la Gestion de la ZAD d’Oum El-Bouaghi, du tourisme et de l’Artisanat, de l’Agence foncière de wilaya et des Domaines, a eu pour objectif de relancer l’investissement à travers la wilaya en insufflant un nouveau souffle aux Zones industrielles et aux Zones d’activités (ZAD).
L’administration compte éradiquer tous les problèmes rencontrés par les investisseurs sur le terrain, tel que le raccordement des unités de production en énergie éclectique et autres commodités. Durant la 4ème session ordinaire de l’APW, des élus n’ont pas hésité à dénoncer le déficit existant à l’intérieur de ces zones industrielles pour le développement qui est freiné à cause des contraintes bureaucratiques.
La Zone industrielle de la ville d’Ain Beida est considérée comme étant la plus grande de la wilaya d’Oum El-Bouaghi et la plus ancienne de l’Est du pays. Seulement, l’investissement dans cet espace industriel est agonisant faute d’investisseurs. Une grande usine de textile (ex-SONITEX) demeure à l’abandon et occupée, aujourd’hui, par les rats et les pigeons, tout en sachant qu’elle faisait travailler des centaines d’ouvriers.
Pour rappel, une commission de wilaya a effectué des visites aux ZAD et Zones Industrielles pour inscrire des opérations d’aménagement, de raccordement en gaz et électricité, de goudronnage des chaussées et de création des avaloirs pour contrer les crues. Les élus de l’APW ont sollicité les investisseurs des quatre coins du pays, entre autres les locaux, à venir s’investir à Oum El-Bouaghi où ils trouveront toutes les facilités.
Par : Chaffai Chawki