Par : Amar Ait Bara
Les plages surveillées territorialement par la Gendarmerie nationale sont épargnées et aucun squatteur ne s’y est aventuré pour installer son matériel de location de tables, chaises et parasols pour des éventuelles locations aux futurs baigneurs des baignades interdites. Cependant, au niveau de la plage du Lever de l’aurore « Caroubiers », ce n’est pas le cas et un squatteur d’un nouveau genre au-dessus de la loi ne cède pas, malgré le report de la saison estivale et l’ouverture des plages qui a été décidée pour le 1er juillet prochain. Ce dernier loue déjà ses parasols, chaises et tables au profit des estivants, interdits de baignade à cause de la situation sanitaire. Cependant, les riverains de ce quartier dénoncent cette transgression des lois, car ce squatteur passe outre et fait fi de la règlementation. Aussi, les citoyens se posent des questions sur celui qui a délivré une autorisation d’exploitation de cette plage d’une manière illégale et surtout avant terme, car la saison estivale et la baignade ont été reportées au 1er juillet prochain et aucune personne n’a été avantagée en ce sens, confirment nos sources. Celles-ci confirment également que personne ne jouit de ces faveurs illégales, car on est toujours dans une période de confinement que seuls les responsables sanitaires sont habilités à lever et la période est exceptionnelle à cause de la covid-19. Au niveau des plages extramuros, dont on citera la Caroube, Toche, Belvédère, Ain Achir, la loi est respectée. Par contre, ce n’est pas le cas pour celles situées en ville comme Chapuis, Saint Cloud, Lever de l’Aurore, Plage des Juifs où tout est toléré, la loi est transgressée et la réglementation est bafouée également et n’est pas appliquée, explique une citadine, outrée par cet état de fait et surtout par l’anarchie qui règne au sein de ces plages.