Par : Hamid Baali
Le chef-lieu de wilaya qui dispose de quelques feux tricolores, censés réguler la circulation des véhicules, étouffe car le nombre de ces derniers a quintuplé en l’espace d’une décennie et le plan urbain de la circulation n’a fait l’objet d’aucune actualisation ! Ce problème d’intérêt général n’est toujours pas pris en charge par les services compétents au grand dam des automobilistes et des piétons qui endurent quotidiennement un calvaire sans précédent. A titre indicatif, la ville de Guelma ne dispose de feux tricolores qu’au niveau des boulevards Souidani Boudjemaâ et du 1 er Novembre et ces derniers tombent parfois en panne comme c’est le cas actuellement de celui du carrefour principal, situé aux abords de l’hôtel Mermoura. Des usagers de la route nous apprennent que ce dernier est en panne depuis une semaine et s’étonnent du silence affiché par les services techniques de la municipalité qui sont aux abonnés absents.
Ammi Rachid saisit cette opportunité pour déclarer : ” J’interpelle les autorités locales aux fins de se pencher sur cette préoccupation citoyenne d’intérêt général ! Il est vital que d’autres feux tricolores soient installés au niveau des carrefours de la place du 19 mars, de l’assemblée populaire communale, du boulevard Chergui Mouloud, de la mosquée El-Qods, du cimetière des chouhada et des cités Hadj-Embarek et Ain-Defla qui enregistrent un intense trafic routier ! ” .
Des citoyens souhaitent que leur ville soit au diapason, à l’image des autres métropoles du territoire national qui bénéficient d’un plan de circulation efficace et moderne. D’autre part, ils espèrent vivement que ces feux tricolores fassent l’objet de travaux de maintenance et de suivi de la part des services techniques de l’APC.