Par : Chaffai Chawki
Le wali d’Oum El Bouaghi, lors de sa visite à la cité El Badr de la ville d’à Ain Beida, avant-hier, a demandé d’aménager ce vaste carré, tout en plantant des arbres et de créer des espaces verts et des aires de jeux pour les enfants. Et, en présence du chef de daira, du P/APC, des élus locaux, des directeurs de l’exécutifs concernés par cette sortie importante, des cadres de la DUCH et de la direction de l’éducation, M. Nefla a exigé d’ouvrir la nouvelle école baptisée au nom du chahid Hadjou Salah dans une semaine. Alors qu’on parle de la surcharge dans les classes, cet établissement scolaire a été abandonné depuis des années ; pour preuve, la presse locale n’a cessé d’interpeller tous les walis qui se sont succédés pour sauver ce projet mais en vain. L’intervention du nouveau chef de l’exécutif a eu une grande satisfaction de la part de la société civile et des riverains de cette école bien située, qui ont souffert le martyre par le passé. Leurs enfants sont scolarisés dans l’école de l’”Oued”, non loin de la cité de Bouakouz, un établissement exigu où les apprenants et le personnel pédagogique travaillent dans des conditions difficiles. La question qui demeure posée par les parents d’élèves : est-ce que le retard dans les réalisations des établissements scolaires est dû à l’incompétence des entreprises de réalisation ou le manque de suivi des bureaux d’études ?