Par : Hamid Daoui
Le très mince espoir, mis par une partie des citoyens soucieux de l’environnement et de la propreté de la ville, semble s’amenuiser, dès lors que l’on constate via des « réseaux sociaux dits de la société civile », impliqués dans des attaques orchestrées par les forces de nuisances lovées à la mairie et son microcosme politique contre la Direction de l’Environnement de l’APC ! En effet, cette montée au créneau visant la directrice de cette structure n’est pas la première du genre. Durant les 2 mandats électifs écoulés, la responsable visée a subi des harcèlements administratifs à cause de ses positions fermes quant à l’exigence de la salubrité publique de la ville et ses administrés. Une première fois, l’exécutif de l’APC présidée par le maire, A. Aberkane, lui a infligé des sanctions arbitraires pour avoir défendu ses principes pour la protection de l’environnement contre le bradage d’alors ! Une seconde fois, cette dame, maitrisant parfaitement son domaine pour lequel elle a fait des études universitaires accomplies, n’a pas été ménagée par les forces nuisibles et intéressées sur le dos de la propreté de ville et des quartiers dont les habitants n’ont cessé de réclamer le ramassage « bien fait » des ordures et des déchets « et non pas jetés, par-ci par-là, ou brûlés dans les décharges avec leurs fumées toxiques par les agents de l’entreprise communale en charge, en l’occurrence l’EPCA.
Constatant sur le terrain avec prises de photos et vidéos par les locataires eux-mêmes et ceux enregistrés par les soins de la direction de l’environnement, la responsable ne pouvait apposer sa signature de « mention service fait » pour un travail « non réalisé ou bâclé » pour que l’entreprise puisse bénéficier du payement à partir du budget de l’APC, selon la réglementation du plan de charges établi dans la convention. C’était le tollé avec la grogne des ouvriers qui réclamaient leurs salaires pendant que le courant ne passe pas bien autour d’intérêts respectifs entre le maire sortant et le directeur de l’EPCA qui fut par la suite dégommé après des « manipulations ouvriéristes » émanant des deux côtés qui s’entretuent dans un contexte de « crise de la poubelle » par grèves à répétition dans une ville polluée de partout.
Sachant par ailleurs que pour le même motif de « service fait » n’ayant pas été effectivement réalisé par l’ETREP, des responsables du « service électricité » auprès de la direction technique de l’APC ont été traduits par devant le parquet.
Aujourd’hui, avec cette nouvelle APC, composée d’élus ayant exercé des fonctions dans les staffs dirigeant des EPICs, EPCA et ECEV…, tout le monde peut imaginer les rebondissements en voyant la photo publiée avec le texte rédigé sur le post et l’on craint que la crise interne de l’installation de l’APC, présidée par le jeune maire A. Daas, ne se transforme en règlement de compte avec d’autres structures importantes de la mairie lorsqu’on sait que « les vengeances et les appétits féroces n’ont jamais quitté l’arène de la municipalité avec son cortège de malversations et de dilapidations des deniers publics que les administrés aspirent que « cette ère soit révolue à jamais », dans ce climat archaïque et rétrograde du règne de la médiocrité souvent, diplômée !